tatanka a écrit :
Principalement les news concernant la pertinence des vaccins, des mesures sanitaires, etc. En gros apporter une caution journalistique et pseudo scientifique à la propagande gouvernemental.
Pour être plus précis, il y a le cas de la campagne de vaccination pour "protéger les autres", alors qu'"ils" savaient que le vaccin n'empêchait pas la transmission (reconnue de plus en plus aujourd'hui).
Non, là tu accuses le machin de relayer une propagande gouvernementale, accusation que tu peux étendre à la quasi-totalité de la presse mainstream, de la presse spécialisée et des revues scientifiques.
L’article FS et les quelques personnes à son origine accusent factandfurious de faire du mauvais fact-checking, c’est-à-dire de prendre une news, faire semblant de la vérifier et y apposer le sceau « fact-checké / debunkée» et du coup d’en faire une fake news pour la diffuser dans la presse et sur wikipedia.
Et on parle d’un réseau ou d’une mafia, donc de gros sous et d’influence. D’ailleurs, l’article pour le prouver, développe tout un paragraphe :
« Du blanchiment d’information sur commandes à la réalisation de faux tests PCR et de fausses ordonnances »
Mais on y apprend que Mr Daoust est accusé par sa femme ou ex-femme de vendre des faux résultats de test PCR, de faire de fausses ordonnances, d’avoir des problèmes récurrents d’argent, d’avoir été violent et d’être antivax, aves des PJ où il n’y a rien ou bien des captures d’écran de messages supprimés par Mme Daoust, mais rien sur le blanchiment et le réseau mafieux…
Du coup, je me demande bien ce que la justice d’Etat peut/va faire. A moins qu’il y ait, j’espère, une second article bien plus conséquent.
Mais pour résumer, il y a FS qui relaie les accusations de l’ex-femme d’un mec qui tient un site de fact-checking avec un statut de presse en ligne et fait des piges pour l’AFP, pour conclure sur le réseau TENTACULAIRE des factcheckeurs qui blanchit des fakenews. Contrairement à tatanka, je ne pense pas qu’il faille « séparer l’homme de son travail ». La question se poserait peut-être d’avantage pour les autres contributeurs de factandfurious qui se retrouvent associés bon gré mal gré au actes supposés de Mr Daoust. Mais dans tous les cas, si les accusations de madame Daoust sont vraies, on est en droit de se demander jusqu’à que point le comportement de délinquant de Mr Daoust s’est insinué dans le travail de factandfurious et de ses contributeurs. Sachant que le factcheking repose principalement sur la vérification de propos (« tel nombre de morts », « tel docteur a dit que », « en 2004, il s’est passé telle chose »), et que tout doit être sourcé, le blanchiment ne devrait pas être compliqué à prouver.
Mais pour l’aspect mafieux, le compte n’y est pas. C’est un peu comme si on disait que puisqu’Aberkane, par exemple, fricote avec toute la branche européenne des gros entrepreneurs libertariens et raconte très souvent des bêtises ou use d’approximations grossières, ce serait la preuve qu’il fait parti d’un immense réseau tentaculaire de gros patrons tapis dans l’ombre dont le seul but et de se gorger de fric et de maintenir la classe des ultrariches hors de la société, à coup de greenwashing, d’hommes providentiels, et de démantèlement de toutes les structures qui servent de garde-fou (les gouvernements, les institutions scientifiques, les médias d’investigations, et … attend…).
Par contre dans l’affaire la temporalité est super drôle. Si peu de choses en si peu de temps, il est évident que les deux partis savaient ce qui leur pendait au nez.